Chargez ! Quand mettre en charge n’est plus de l’usure mais de la stimulation - 28/02/18
Resumen |
Introduction |
Le conseil de se reposer a, depuis longtemps, montré qu’il donnait de moins bons résultats que de rester actif dans les lombalgies, et pas de meilleurs résultats pour les sciatalgies [1 ]. Le modèle biopsychosocial ayant connu une grande mise en avant ces dernières années, on comprend désormais l’importance d’éviter la kinésiophobie qui est associée à la perte de qualité de vie chez les patients [2 ]. De nombreux soignants sont eux-mêmes victimes de cette kinésiophobie et restent esclaves du paradigme de l’économie des mouvements pour éviter l’usure. Pouvons-nous aujourd’hui plébisciter la charge sans crainte ?
Méthode |
Une revue narrative de la littérature a été réalisée incluant des données de la science fondamentale et des observations transversales de cohortes de patient pour estimer la pertinence clinique de ces données fondamentales. Les recherches s’intéressaient à tous les tissus.
Résultats |
Les effets bénéfiques de la charge semblent bien établis sur les muscles et tendons [3 ] et semblent également présents pour les os, les ligaments, le cartilage et même le système nerveux. Les bienfaits de la charge semblent couvrir un large éventail, que ce soit des effets trophiques, par stimulation de la production de matrice extracellulaire, ou effets anti-inflammatoires par libération de cytokines anti-inflammatoires [4 ].
Conclusion |
Aujourd’hui, on a un certain nombre d’éléments qui permettent de penser qu’on peut bouger sans crainte. Le défi ne semble plus être de savoir quel mouvement est bon, mais quelle dose.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Mots clés : Dose de mouvement, Économie de mouvement, Kinésiophobie
Esquema
Vol 18 - N° 194
P. 41 - février 2018 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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